Ileana ; you look so fine

Ileana Valeria Mattachione

© Eagle
« La logique est une manière méthodique de se tromper en toute confiance. »

LA PERFEZIONE HA UN NOME :
Je m'appelle Ileana Valeria Mattachione, pour les amis c'est Ili ou ana. Je suis née à Milan, le 7 avril 1988. J'aime cette ville, mais pourtant je l'ai quitté pendant un temps, partant seule à l'aventure. Je suis fille unique et je ne m'en porte pas plus mal à vrai dire. Étant du genre indépendante, j'ai vite appris à me débrouiller seule, sans jamais compter sur qui que ce soit. J'ai toujours fait les choses à ma façon sans me soucier de ce qu'on pouvait en penser, et surtout pas mes parents. Je ne viens pas d'une famille spécialement pauvre, mais pas riche non plus, ainsi j'ai appris très tôt la valeur de l'argent et qu'il fallait faire de son mieux pour s'assurer un avenir prometteur.

Vous l'aurez compris dans ma famille, on n'est pas vraiment proche. A vrai dire, je suis l'erreur de jeunesse de mes parents. Ils ont certes choisi d'assumer, mais m'ont toujours fait sentir que j'étais de trop. Il me reprochait d'avoir vu leur jeunesse s'envoler, surtout qu'ils avaient du se débrouiller seuls, car leurs parents désapprouvaient leur décision. Dès que j'ai été en âge de prendre mon indépendance, je l'ai fait sans aucun regret. Impulsive, je n'y ai pas réfléchi à deux fois avant de mettre les voiles. Je me suis parfaitement débrouillée seule, dénichant des petits boulots pour continuer à payer mes études. Finalement après quelques années d'étude et des activités plus ou moins légales, j'ai fini par devenir guide dans une galerie d'art où je m'occupe aussi de la conservation des tableaux. J'ai beau être jeune, ma passion pour l'art, et mon tempérament sociable et charmeur ont plaidés en ma faveur.

Je fais parti du groupe Gli Altri. Je ne suis pas riche comme crésus, bien que j'ai à présent une vie aisé et je ne suis plus à la limite de la pauvreté. Je me considère comme quelqu'un de normal, une citoyenne parmi tant d'autre. Je vis ma vie sans me préoccuper des autres, un peu je-m'en-foutiste sur les bords.

Sinon, je suis techniquement célibataire. Oui, le techniquement est là parce qu'il ne vaut mieux pas prononcé les mots couple, engagement et sérieux devant Marzio. Oh bien sûr, je compte bien changé cet état de fait, mais j'y vais doucement, faisant semblant être en accord avec ce qu'il pense. Je suis amoureuse et je compte bien faire en sorte que ce soit réciproque !

Je vous en ai déjà dis trop à mon goût ! J'aime entretenir le mystère qui m'entoure, je n'aime guère à devoir dévoiler mes secrets. J'aime à utiliser mon côté charmeur pour détourner la conversation et obtenir ce que je veux. Comme un joueur de poker, je ne dévoile jamais mes cartes et ai toujours un coup d'avance.

IL PEGGIORE VOCE SU TE :
Il a quelques années un scandale retentissant à éclaboussé des hommes politiques influents. Ceux-ci pour la plupart mariés à de riches bourgeoises frigides s'encanaillaient avec des petites jeunettes. Cela a choqué, car une partie d'entre elles n'étaient pas majeures. Je faisais partie de ces filles, à vrai dire j'ai collaboré avec la presse en échange que mon nom ne soit pas cité. Personne n'a jamais su que je m'étais associée à ce scandale, et tout ce qu'on a pu voir de moi était des photos me montrant aux bras de ces hommes, mais des photos qui ne révélaient jamais mon visage. J'ai touché un joli paquet d'argent, dont j'ai su faire bon usage, mais à vrai dire je n'étais pas innocente, car je jouais souvent les call-girls de luxe dans des milieux auxquels je n'aurais jamais pu accéder autrement. J'avais juste plus de jugeote que les autres filles qui m'entouraient. Ainsi, je plaçais des limites très claires et ne faisais que jouer les accompagnatrices.

© leavesden
« L´amour est une catastrophe magnifique : savoir que l'on fonce dans un mur, et accélérer quand même, courir à sa perte, le sourire aux lèvres, attendre avec curiosité le moment où cela va foirer. L'amour est la seule déception programmée, le seul malheur prévisible dont on redemande. »
MI RACCONTI LA TUA STORIA :

Je ne suis pas une gentille fille. Je ne suis pas une de ces petites filles modèles, propres sur elles. Je suis du genre mystérieuse et secrète, je distille les informations au compte goutte, n’aimant pas trop en dire. J’aime être insaisissable, que l’on se questionne sur moi. Je considère qu’attirer l’attention en laissant des questions en suspens est la meilleure façon de procéder. Je sais ce que je veux, comment je le veux et je ne me laisse pas détourner de mes objectifs par qui ou quoi que ce soit. Je suis plutôt du genre à savoir ce que je veux et à ne pas tenir compte de ceux qui m’entourent pour l’obtenir. Ainsi, peu importe si cela déplait ou si je risque de blesser des gens, mes intérêts passent avant tout. Je préfère être seule et me débrouiller seule. Je supporte assez mal les ordres et n’aime pas à ce qu’on m’empêche -pour quelques raisons que ce soit- de faire les choses telles que je les entends. Oui, j’ai mon petit caractère et il faut apprendre à faire avec. Heureusement, mon caractère sociable et souriant m’attire la sympathie des gens, et ceux-ci s’arrêtent souvent à mon visage d’ange me jugeant souvent plus sur mon physique que sur ce dont je suis réellement capable.

Je ne suis pas non plus une garce, loin d’être une peste, je peux me révéler adorable avec les rares personnes qui ont de l’importance pour moi. Je serais toujours là pour aider ceux qui comptent pour moi, peu importe ce que cela pourrait avoir comme conséquence. J’espère ainsi la confiance même au plus méfiant et mon apparente douceur piège souvent les plus crédules. Mais, ceux qui ont su percés mes défenses pourront voir une personne fidèle, douce et patiente, qui ne laissera jamais ses amis dans le pétrin.
J’ai une façon très particulière de voir les choses qui déconcerte souvent les gens. Tantôt minutieuse et perfectionniste, je ne laisserais rien au hasard, m’assurant que tout soit parfait jusque dans es moindres détails. Autant, je peux agir sous le coup d’une impulsion, faisant les choses sans organisation, ni logique. Imprévisible, les gens ne savent ainsi jamais comment je vais réagir et se montrer parfois méfiant face à la manière dont je pourrais prendre les choses.Je suis aussi passionnée et prends ainsi les choses très à cœur. Quelque chose qui pourrait paraître anodin pour quelqu’un d’autre pourrait prendre à mes yeux une importance capitale. Je ne fais ainsi pas dans la demi-mesure, soit cela déclenche mon enthousiasme, soit cela me déplaira fortement.

Prenons ma famille par exemple. Beaucoup me conseilleraient de renouer avec eux, maintenant que mes grands-parents veulent me connaître et que mes parents ont réalisés que j’existais. Loin de vouloir accepter cela, j’ai choisi de les ignorer comme eux l’ont si bien fait. J’ai suffisamment prouvé que je savais parfaitement m’occuper de moi-même, seule. Je ne leur dois rien. Que ce soit pour payer mes études ou le reste, je me suis débrouillée seule, de façon plus ou moins légale, mais seule. Je n’ai ainsi pas eu peur de jouer les call-girls de luxe, accompagnant de riches hommes d’affaire en soirées. Je m’étais mise à mon compte, travaillant seule, jusqu’à ce qu’un ami joue les gardes du corps et fasse des dossiers nous permettant d’être tranquille si un client se montrait capricieux ou menaçant. Sans scrupule ? Peut-être, mais ce genre de milieu m’a appris que cela ne servait à rien d’être un idéaliste, ce qu’il faut c’est se donner les moyens de réussir.
J’ai finalement -au bout de presque deux ans- arrêté cela. Pas par remord ou regret, mais j’ai senti que la roue tournait et que j’avais donc intérêt à me mettre à couvert avant que la tempête n’éclate. J'ai eu raison puisque peu de temps après mon ami m'apprenait qu'un article allait faire la première page en racontant ce qu'il se passait. Négociant à prix d'or un témoignage exclusif, j'avais eu le temps de cesser mes activités avant que le scandale n'éclate. Bien sûr, il y avait des photos, mais je m'étais assuré qu'on ne puisse m'y reconnaître et j'avais été citée comme une source anonyme. Cela m'a follement amusé une fois que l'article est sorti, surtout quand tout le monde cherchait qui était la mystérieuses blonde. Pendant que tout le monde était concentré là-dessus, j'en ai profité pour reprendre mes études, suivant un cursus d'histoire de l'art tout en travaillant comme vendeuse.

Bien sûr, depuis que j'avais quitté mes parents, j'avais fait de nombreuses choses, dont tout les petits boulots imaginables et j'avais visité toute l'Italie, allant même parfois plus loin au gré de mes envies. Cela m'avait permis de rencontrer énormément de monde et de découvrir bien plus de choses que si j'étais restée. Pourtant, j'avais choisi de retrouver une vie stable et j'avais donc fait mes études à Milan, avant de travailler dans un musée étranger. J'avais finalement postulé il y a quelques mois dans un musée de Milan et après un entretien j'avais été embauchée.
Je pensais continué à avancer en étant toujours désintéressée de ce qui m'entourait jusqu'à ce qu'une personne éveille mon intérêt. J'entendais souvent parlé d'un jeune homme sans savoir qui il était. Son nom revenant sur tous les lèvres, Marzio. Cela a fini par titiller ma curiosité et j'ai voulu en savoir plus. J'ai été charmé par ce que j'en apprenais, mais je voulais du concret. Qu'à cela ne tienne, j'ai provoqué notre rencontre. Je savais où le trouver grâce à des connaissances et j'ai fait en sorte que l'air de rien on se rentre dedans. Après cela, je n'ai eu qu'à feindre une parfaite innocence et le tour était joué. Je pensais que cela serait plus difficile, mais je n'ai rien eu à faire pour qu'il m'invite à boire un verre. De fil en aiguille, la soirée s'est prolongé, et cela s'est fini comme cela devait se finir. Pour le reste, j'ai parfois laissé faire le hasard et j'ai parfois à nouveau provoqué le destin. Je sais quels sont mes sentiments pour lui, mais j'ignore quels sont les siens. Alors, je suis prudente, ne me montrant jamais collante, jamais pressante, ne parlant presque jamais de moi et partant toujours la première. Pas que je ne sois pas parfois tentée de rester plus longtemps, mais j'ai compris comment il fonctionne. Ce serait une erreur de montrer que je souhaite autre chose, quelque chose de plus. Pourtant, j'ai l'impression que peut-être il tient à moi comme je tiens à lui. Mais, je continue d'être prudente -me contentant de ce que l'on a- pour ne pas le voir fuir. Je l'aime, et je veux qu'il m'aime. Peu importe le temps que cela prendra !

PRENOM/PSEUDO :
AGE : 21 ans
AVATAR : Natalia Vodianova
OÙ AS-TU TROUVE LE FORUM : PRD
TU EN PENSES QUOI : J'aime évidemment ! ^^
PRESENCE SUR LE FORUM : 5 à 6/7
LE MOT DE LA FIN : »

• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •