CORABELLA ABATUCCIFEAT. ASHLEY GREENE : Je descendais les marches qui me menaient sur la pelouse du stade, tous les regards se tournèrent vers moi. J’avais déjà pu entendre des petits rires qui tentaient de se faire discrets et des petites réflexions sur « la fille sur les gradins ». J’avais mon bloc-notes et mon stylo dans une main, mon dictaphone dans l’autre et je tentais tant bien que mal de faire tenir mon sac sur mon épaule le tout en descendant les marches d’une façon qui, je l’espérais, ne me rendrait pas trop idiote. Arrivée à la hauteur des joueurs, je m’adressai à l’entraineur : « Corabella Abatucci, je travaille pour le journal Le voci di Milano. J’aurais voulu réaliser une interview sur vous ainsi que vos joueurs. C’est possible ? ». Le vieux bonhomme hocha la tête. « Hum… pourquoi pas. Rejoignez-nous dans les vestiaires, d’ici dix minutes. Allez les gars, on y va. » . J’attendis exactement dix minutes devant la porte des vestiaires puis, j’entrai et me retrouvai nez-à-nez avec un des joueurs nu comme un vers. Je baragouinai quelque chose un truc du genre « Je… hum… désolée » . Puis refermai la porte derrière moi. La honte. Les interviews commencèrent le coach d’abord, puis le gardin, puis le capitaine… Le capitaine c’était lui, Falco, celui que j’avais vu nu quelques minutes auparavant. « Bien. Donc hum. Falco… » . Je cherchais mes mots, avais mélangé mes feuilles bref, faisait ma débutante. C’était mes premières vraies interviews en tant que journaliste et je faisais déjà n’importe quoi. « Arrêtez de me regarder comme ça. » . Je relevais la tête et le regardais d’un air interrogateur. « Comment ? » . Il sourit d’un air taquin. « Comme si vous m’aviez vu nu. ». Je ne pus m’empêcher de rire nerveusement, c’était le pire truc qui pouvait m’arriver pour mon premier jour. « Je suis vraiment désolé. Le coach avait dit dix minutes… ça faisait dix minutes alors… » . Falco sourit encore plus grandement et, au moment où il prononça cette phrase, je sus qu’il allait marquer ma vie. « Et bien, je crois que c’est à mon tour de vous voir nue, Mademoiselle Abatucci. ».
UNDERCO'
DEVI SAPERE :
Tout d'abord, j'épouse la personne qui prendra ce scénario . Je ne demande pas un niveau de Rp spécial puisque les quinze lignes du règlement me conviennent. Ne serait-ce qu'un Rp par semaine me suffirait. L'avatar n'est absolument pas négociable, c'est Jamie Dornan ou personne d'autre! Comme vous l'avez certainement remarqué, tout est pratiquement au choix. Juste, pour le nom prénom, j'aimerais que ce soit un minimum original .